Dernière ligne droite pour Le taureau d’argent

Nous voilà arrivés à la dernière ligne droite pour Le taureau d’argent. Je commençais en juin 2017 ce projet d’écriture. Une année et demie plus tard, le voici presque sous toit. J’ai reçu, il y a trois jours, les remarques de ma fidèle correctrice. Je les ai retranscrites le lendemain. Puis, j’ai relu une fois de plus tout le roman. Cela m’a permis d’alléger encore le style et d’effectuer d’ultimes corrections. Hier, j’ai envoyé le fichier numérique contenant le texte à mon imprimeur.

Aujourd’hui, j’ai finalisé la couverture. J’ai notamment créé la tranche du livre, dont la largeur est dépendante du nombre de pages. Je l’ai elle aussi transmise voilà quelques minutes.

Pour terminer, j’ai commandé un premier exemplaire qui me permettra de vérifier la qualité du volume. Je le recevrai entre le 7 et le 13 décembre. J’espère ainsi pouvoir être en mesure de vous envoyer Le taureau d’argent avant Noël.

Je vous informerez des ultimes étapes. Tenez-vous donc aux aguets ses prochains jours.

Dernière ligne droite pour Le taureau d'argent

Couverture du roman Le taureau d’argent

Alors que ma correctrice se trouve sous pression pour arriver à la fin de sa tâche dans les délais impartis, j’ai travaillé sur la première de couverture du roman Le taureau d’argent. Celle-ci garde la ligne adoptée pour les ouvrages précédents. Le nom de l’auteur est écrit en gris au sommet de la page, vient ensuite le titre en gros caractères, puis le registre littéraire. Une large part de la couverture est consacrée à l’image.

J’ai hésité entre diverses illustrations. J’imaginais peut-être des ruines encadrées de montagnes. J’envisageais également une photo de taureau blanc ou une sculpture qui représenterait cet animal. Finalement, j’ai opté pour celle que vous voyez. Elle a un fort lien avec l’histoire racontée dans Le taureau d’argent. Je ne vous en dévoilerai donc pas plus sur sa signification. Sachez cependant pour l’anecdote qu’il s’agit d’une œuvre antique, exposée au British Museum à Londres. D’autre part, la photo se trouve dans le domaine publique, donc libre de droits.

Vous pourrez passer commande de mon roman, si tout se passe bien, avant Noël.

Couverture du roman Le taureau d'argent

Invitation à la visite du sanctuaire de Mithra

La nouvelle que je projette d’écrire ces prochaines semaines aura pour théâtre le Forum Claudii Valensium (autrement dit Martigny). Elle se déroulera au IIIe siècle de notre ère, donc durant le Bas-Empire romain. Le lecteur y croisera notamment les adeptes du culte au dieu Mithra. Afin ressentir l’ambiance des lieux, j’ai l’intention de réaliser une visite du sanctuaire de Mithra.

Pour certains historiens, cette divinité a pour origine l’Indou Kouch (montagnes afghano-pakistanaises). Elle a été importée en Europe via l’Inde, la Perse, la Syrie, avant de parvenir dans l’Empire romain, par l’intermédiaire d’esclaves proche-orientaux, semble-t-il. L’apparition de son culte dans nos régions précède de peu l’émergence du christianisme. Il présente de nombreux points communs avec celui-ci: monothéisme, foi en l’immortalité de l’âme, en la parousie, baptême et célébration d’un repas rituel, résurrection des croyants à la fin des temps…

Je vous invite à m’accompagner lors de la visite du sanctuaire de Mithra. Si vous êtes intéressés, vous pouvez me contacter par le formulaire idoine ou par e-mail, avant le 26 juin 2017. Les ruines du Mithraeum sont situées non loin de la Fondation Gianadda. Elles ne sont normalement plus ouvertes au public, mais on m’offre tout de même la possibilité de les visiter. Elles sont peu accessibles, car se trouvant dans le sous-sol d’un immeuble. Je pense aussi voir les autres sites romains et pourquoi pas, la Fondation Gianadda.

Visite du temple de Mithra
Crédit: by Carole Raddato from FRANKFURT, Germany [CC BY-SA 2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0)], via Wikimedia Commons
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