Couverture du roman Le taureau d’argent

Alors que ma correctrice se trouve sous pression pour arriver à la fin de sa tâche dans les délais impartis, j’ai travaillé sur la première de couverture du roman Le taureau d’argent. Celle-ci garde la ligne adoptée pour les ouvrages précédents. Le nom de l’auteur est écrit en gris au sommet de la page, vient ensuite le titre en gros caractères, puis le registre littéraire. Une large part de la couverture est consacrée à l’image.

J’ai hésité entre diverses illustrations. J’imaginais peut-être des ruines encadrées de montagnes. J’envisageais également une photo de taureau blanc ou une sculpture qui représenterait cet animal. Finalement, j’ai opté pour celle que vous voyez. Elle a un fort lien avec l’histoire racontée dans Le taureau d’argent. Je ne vous en dévoilerai donc pas plus sur sa signification. Sachez cependant pour l’anecdote qu’il s’agit d’une œuvre antique, exposée au British Museum à Londres. D’autre part, la photo se trouve dans le domaine publique, donc libre de droits.

Vous pourrez passer commande de mon roman, si tout se passe bien, avant Noël.

Couverture du roman Le taureau d'argent

Projet d’écriture à quatre mains

Depuis la deuxième moitié de décembre, Anaïs Sierro et moi-même avons entamé un projet d’écriture à quatre mains. Après de multiples rencontres qui ont servi à définir le périmètre de notre roman, nous pouvons maintenant vous en dire quelques mots.

Le récit se déroulera en Islande. Une Islande proche de la réalité, mais tout de même un peu différente. En effet, ses habitants ont adopté un principe de vie où ils poussent à l’extrême le concept du hygge, d’origine danoise. Mais qu’est-ce que le hygge? Voyons ce qu’en dit Wikipédia sur sa page consacrée à ce mot:

Le hygge (prononcé [y.ɡœ]) est un mot d’origine danoise et norvégienne faisant référence à un sentiment de bien-être, une humeur joyeuse et une atmosphère intime et chaleureuse. Le hygge est un état d’esprit positif procuré par un moment jugé réconfortant, agréable et convivial.

Ce terme est aujourd’hui principalement utilisé au Danemark et se traduit difficilement dans d’autres langues.

Mais que se passe-t-il lorsque toute la négativité de notre monde se trouve occultée? Disparaît-elle vraiment? Ce sont les questions auxquelles nous allons répondre dans ce récit.

Comme Uyrelle et Le taureau d’argent, il s’inscrira dans le registre fantastique, avec bien sûr ses deux faces, le réalisme et le surnaturel. Par exemple, nous nous inspirerons amplement de lieux existants et de la fabuleuse nature de l’île. D’autre part, vous apercevrez également des personnages du folklore islandais, qui fait une large part aux mythes et légendes. Nous intégrerons le Huldufólk et notamment ses elfes, des géants et leur chat, des monstres marins, etc.

Nous en sommes au début de la rédaction et il vous faudra montrer patient avant de pouvoir en entamer la lecture, probablement en 2019. Nous y reviendrons donc dans de prochains articles.

Projet d'écriture à quatre mains

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